Celui qui est sur le qui-vive est vigilant, sur ses gardes. Il s’attend à tout moment à un danger, une attaque.
“La Révolution de 1848 trouva donc tous les Rougon sur le qui-vive, exaspérés par leur mauvaise chance et disposés à violer la fortune s’ils la rencontraient jamais au detour d’un sentier.”
Émile Zola, La Fortune des rougon (1871).
Taken from ‘Pourquoi dit-on 2012’ by Dephine Gaston.